Poursuivi pour avoir déposé, au nom d’un collectif d’organisations, deux demandes de manifestations en solidarité avec la population de Gaza, bombardée par l’armée israélienne, Alain Pojolat a été relaxé.
Le procureur avait réclamé 2 mois de prison avec sursis et 1500 euros d’amende.
C’est une victoire pour le mouvement de solidarité et un encouragement pour continuer et amplifier le soutien à la population palestinienne qui exige la reconnaissance de ses droits nationaux.