Un an déjà de pandémie. Avec presque deux millions de morts et son cortège de catastrophes sociales, loin d’être terminé. « Cette pandémie » écrit justement notre camarade Daniel Tanuro « n’est pas un coup du sort mais une facette de la crise écologique ». Dans sa course permanente au profit et sa négligence à l’égard de la nature, le système capitaliste en est largement responsable, avec son néo-libéralisme qui met à mal les systèmes de santé.

Macron n’a donc aucune raison de s’auto-satisfaire comme il le fait, à l’heure où la vaccination en France avance à pas de tortue, bien moins vite que la diffusion du virus. Et les mobilisations sont plus que jamais nécessaires pour imposer que la santé valle plus que leurs profits.

Seules les luttes peuvent enrayer la catastrophe sociale à venir. Le calendrier de janvier est déjà rempli de dates d’action. A nous de les réussir. Les femmes d’Argentine montrent le chemin. Un chemin d’unité et de combats qui nous sera tout aussi indispensable pour construire l’alternative de gauche et écologiste.